Aimer c'est écrire, et vice versa : Violette Leduc, passionnément
Catherine Viollet, Anaïs Frantz
Violette Leduc voulait écrire, au féminin, la sexualité sans fards ni masques ni ombres, afin de restituer le ressenti sensuel et sexuel éprouvé dans l'amour physique. Comme son ami Jean Genêt, mais en partant de son expérience de jeune fille lesbienne, de femme bisexuelle. Malgré la censure de ses éditeurs, contre ses propres doutes et la tentation de l'autocensure, elle a passionnément poursuivi ce projet audacieux. Catherine Viollet en retrace ici le processus contrarié, déchiffre les « manuscrits millefeuilles » de l'écrivaine - son oeuvre palimpseste maintes fois reprise, remaniée, amputée.
Avec un inédit de Violette Leduc, « Une soirée au Fétiche », qui est un précieux témoignage sur le monde lesbien de l'entre-deux guerres.
Violette Leduc voulait écrire, au féminin, la sexualité sans fards ni masques ni ombres, afin de restituer le ressenti sensuel et sexuel éprouvé dans l'amour physique. Comme son ami Jean Genêt, mais en partant de son expérience de jeune fille lesbienne, de femme bisexuelle. Malgré la censure de ses éditeurs, contre ses propres doutes et la tentation de l'autocensure, elle a passionnément poursuivi ce projet audacieux. Catherine Viollet en retrace ici le processus contrarié, déchiffre les « manuscrits millefeuilles » de l'écrivaine - son oeuvre palimpseste maintes fois reprise, remaniée, amputée.
Avec un inédit de Violette Leduc, « Une soirée au Fétiche », qui est un précieux témoignage sur le monde lesbien de l'entre-deux guerres.
Ixe. 224 pages