Le choix de l'Oranger
Gabriel Kevlec
« Samaël Kerléo, vingt-quatre ans, plus ou moins prof, monstre, moitié d’homme ».
C’est ainsi que Samaël se serait présenté s’il ne s’était pas enfermé dans un empire de solitude après son agression. Alors qu’il ne se nourrit plus que de rêves et de poésies, réfugié derrière ses écrans ou dans les forêts qu’il arpente inlassablement, deux hommes vont venir ébranler son monde.
À l’hôpital, il croise Ferréol, un infirmier tout en lumière et assurance, et qui porte l’écarlate de la passion et du sexe en bandoulière. Sur Twitter, la douceur des mots et des images de Manoé le bouleverse, et l’alchimie explose en mille nuances azur.
Deux rencontres. Deux couleurs. Deux graines d’histoires qui germent ensemble dans la poitrine d’un homme à qui jusqu’alors tout manquait.
« Samaël Kerléo, vingt-quatre ans, plus ou moins prof, monstre, moitié d’homme ».
C’est ainsi que Samaël se serait présenté s’il ne s’était pas enfermé dans un empire de solitude après son agression. Alors qu’il ne se nourrit plus que de rêves et de poésies, réfugié derrière ses écrans ou dans les forêts qu’il arpente inlassablement, deux hommes vont venir ébranler son monde.
À l’hôpital, il croise Ferréol, un infirmier tout en lumière et assurance, et qui porte l’écarlate de la passion et du sexe en bandoulière. Sur Twitter, la douceur des mots et des images de Manoé le bouleverse, et l’alchimie explose en mille nuances azur.
Deux rencontres. Deux couleurs. Deux graines d’histoires qui germent ensemble dans la poitrine d’un homme à qui jusqu’alors tout manquait.
Tiraillé entre réel et virtuel, écartelé entre rouge et bleu, Samaël est incapable de faire un choix. André Gide l’a écrit : choisir, c’est renoncer. Ce qu’il a oublié de préciser, c’est que choisir, c’est parfois la chose la plus difficile au monde.
Et qu’un cœur, ça peut être grand comme une place publique.
Editions Ex Aequo