- Coup de cœur
4.48 Psychose suivi de Skin
Sarah Kane
Empreinte de poésie convulsive et de désespoir clinique, 4.48 psychose est une oeuvre de mort annoncée. Une personne sans identité, déjà morte au monde, internée dans un hôpital où elle assiste à la destruction progressive de ses facultés, y adresse sa prière, entre rage et catalepsie. Elle lutte pour dire son aversion pour ce monde de mensonges, sa déchirure intérieure, sa fêlure profonde dans un lumineux élan de vie et de vérité. Le texte est suivi de Skin, un inédit sur le racisme et la violence, écrit par Sarah Kane et réalisé par Vincent O'Connell en 1995. Embrassez la beauté des mensonges la folie chronique de ceux qui ne sont pas fous Souviens-toi de la lumière et crois en la lumière. Rien n'est plus important. Prends garde aux apparences et sois droit dans ton jugement.
Empreinte de poésie convulsive et de désespoir clinique, 4.48 psychose est une oeuvre de mort annoncée. Une personne sans identité, déjà morte au monde, internée dans un hôpital où elle assiste à la destruction progressive de ses facultés, y adresse sa prière, entre rage et catalepsie. Elle lutte pour dire son aversion pour ce monde de mensonges, sa déchirure intérieure, sa fêlure profonde dans un lumineux élan de vie et de vérité. Le texte est suivi de Skin, un inédit sur le racisme et la violence, écrit par Sarah Kane et réalisé par Vincent O'Connell en 1995. Embrassez la beauté des mensonges la folie chronique de ceux qui ne sont pas fous Souviens-toi de la lumière et crois en la lumière. Rien n'est plus important. Prends garde aux apparences et sois droit dans ton jugement. Tout va bien. Ça va finir par aller mieux. la déchirure commence En 2001, L'Arche publiait 4.48 Psychose, texte posthume de Sarah Kane. 23 ans plus tard, une nouvelle traduction de cette pierre angulaire du catalogue semblait nécessaire : Vanasay Khamphommala signe ici une traduction historique en totale pertinence avec le texte de Kane qui décloisonne les imaginaires de genre et les érotismes, en utilisant une police inclusive : BBB Baskervvol du collectif Bye Bye Binary. L'Arche. 80 p.