- Coup de cœur

"Corps étranger sous la peau" raconte l'exil : comment se construit-on quand on est renvoyé·e à nulle part tant géographiquement qu'idéologiquement ? Ce roman se partage entre l'enfance ramenée en Algérie après sept années passées à Paris et le temps adulte de retour en France. Il ne s'agit pas d'être dans un entre-deux mais de ressentir l'exclusion à chaque endroit de vie. À Alger, des codes à apprendre, une langue qu'on ne maîtrise pas, la solitude. À Paris, le racisme structurel, la vie autonome et queer, l'éloignement, la dissociation. Nour Bekkar initie une réflexion narrative autour des parcours migratoires et transmet une vision intime et politique de la façon dont la diaspora est fracturée.
"Corps étranger sous la peau" raconte l'exil : comment se construit-on quand on est renvoyé·e à nulle part tant géographiquement qu'idéologiquement ? Ce roman se partage entre l'enfance ramenée en Algérie après sept années passées à Paris et le temps adulte de retour en France. Il ne s'agit pas d'être dans un entre-deux mais de ressentir l'exclusion à chaque endroit de vie. À Alger, des codes à apprendre, une langue qu'on ne maîtrise pas, la solitude. À Paris, le racisme structurel, la vie autonome et queer, l'éloignement, la dissociation. Nour Bekkar initie une réflexion narrative autour des parcours migratoires et transmet une vision intime et politique de la façon dont la diaspora est fracturée.
Blast. 140 pages
Autrice : Nour Bekkar