Cul nul (Courts érotiques)

Cy Jung

19,00 €

Fantasmes, émotions, tendresse...
Que ce soit la visite imprévue d’une voisine ou bien les retrouvailles de deux amies d’enfance, que l’on soit au néolithique ou au XXIe siècle, dans un couvent ou une cabine d’essayage, les mises en scène drôles et coquines se succèdent.
Sam, Céline, Diane, Marinette, Fatou et les autres peuvent alors laisser libre cours à leurs désirs.

KTM éditions. 168p

Quantité

Fantasmes, émotions, tendresse...
Que ce soit la visite imprévue d’une voisine ou bien les retrouvailles de deux amies d’enfance, que l’on soit au néolithique ou au XXIe siècle, dans un couvent ou une cabine d’essayage, les mises en scène drôles et coquines se succèdent.
Sam, Céline, Diane, Marinette, Fatou et les autres peuvent alors laisser libre cours à leurs désirs.

Extraits :

" (...) Spontanément, j’ai retiré mon tee-shirt et mon short. J’étais nue, face à cette étrangère. Son pouvoir sur moi était total, sa mainmise absolue. Je laissais venir mon désir, je n’avais qu’une obsession, cette éponge qui vaquait sur ma peau mue par le bras d’une lavandière au sourire d’ange et à l’œil coquin. Mes habits flottaient, l’eau montait, l’éponge marouflait, mes sens s’exfoliaient et je sombrai dans la majesté de l’ivresse. (...) "

*

" (...) Encouragée par le sourire qui éclairait désormais la frimousse de celle dont elle espérait gagner les faveurs, la reine prit son visage entre ses mains et le couvrit de multiples bécots jusqu’à effleurer ses lèvres chaudes et épaisses. Là, elle marqua un arrêt puis y déposa les siennes. Madame Drouet n’avait jamais embrassé une femme, si ce n’est Mariette, sa cousine, lors de jeux polissons qui les avaient menées à 12 ans à découvrir le plaisir dans la grange à foin. Depuis, elle n’avait connu que le menton piquant des hommes et leurs rustres manières. Cette sensation d’extrême douceur la ravit. Elle mêla sa langue à celle de la reine et posa ses doigts sur sa taille. (...) "

*

" (...) trois détenues m’observaient, alignées comme à l’appel, dos à la porte ouverte : une grande, très maigre, avec des mains de pianiste et des cheveux bouclés qui tombaient sur ses épaules ; une moyenne, tout en muscles, les poings serrés et une coupe à la garçonne ; une petite enfin, ronde à souhait avec les doigts potelés et une queue de cheval. J’ai esquissé un sourire que j’ai ravalé illico : dans leurs yeux, j’avais lu qu’il me serait inutile de résister. (…) "

Cy Jung
9782913066083