Presque toutes les femmes
Héléna Marienské
À l'exception de ses deux grandes filles et de quelques femmes gardées secrètes, Héléna Marienské nous raconte ici toutes les autres, celles qui l'ont élevée, qui l'ont fait grandir, qui l'ont aimée, éveillée...ou éteinte. Toutes ces figures « familiales », littéraires ou amoureuses, de passage ou régnantes, qui ont fait d'elle qui elle est : une femme incroyablement libre, ayant traversé tous les milieux, ayant eu plusieurs vies, plusieurs sexualités avec comme seul impératif : Accepter mille vies en restant toujours soi-même. Dans cette autobiographie aussi (dé)culottée que celle d'un Rousseau, tapageuse, pleine d'élan et de fureur.
À l'exception de ses deux grandes filles et de quelques femmes gardées secrètes, Héléna Marienské nous raconte ici toutes les autres, celles qui l'ont élevée, qui l'ont fait grandir, qui l'ont aimée, éveillée...ou éteinte. Toutes ces figures « familiales », littéraires ou amoureuses, de passage ou régnantes, qui ont fait d'elle qui elle est : une femme incroyablement libre, ayant traversé tous les milieux, ayant eu plusieurs vies, plusieurs sexualités avec comme seul impératif : Accepter mille vies en restant toujours soi-même. Dans cette autobiographie aussi (dé)culottée que celle d'un Rousseau, tapageuse, pleine d'élan et de fureur, Héléna Marienské nous livre une vie qui en contient plusieurs, une vie de quête assoiffée d'amour et de consolation, mais résolument placée sous le signe du «jeu de l'amour et du hasard». (Flammarion. 400p)