- Coup de cœur
Mon frère féminin
Marina Tsvetaeva
« J'ai lu votre livre. Vous m'êtes proche comme toutes les femmes qui écrivent. Ne vous offusquer pas de ce "toutes", toutes n'écrivent pas : écrivent celles entre toutes. Donc, vous m'êtes proche comme tout être unique et, surtout, comme tout être unique féminin. » En réponse aux Pensées d'une amazone (1920) de Natalie Clifford Barney (1876-1972), Marina Tsvetaeva écrit en 1932 une longue lettre où elle s'attache, en particulier, à définir les inquiétudes de deux femmes qui s'aiment et sont privées de la possibilité d'avoir un enfant. Dans une langue éblouissante, Marina Tsvetaeva livre dans ces pages une réflexion profonde et poétique sur l'amour des femmes entre elles.
« J'ai lu votre livre. Vous m'êtes proche comme toutes les femmes qui écrivent. Ne vous offusquer pas de ce "toutes", toutes n'écrivent pas : écrivent celles entre toutes. Donc, vous m'êtes proche comme tout être unique et, surtout, comme tout être unique féminin. » En réponse aux Pensées d'une amazone (1920) de Natalie Clifford Barney (1876-1972), Marina Tsvetaeva écrit en 1932 une longue lettre où elle s'attache, en particulier, à définir les inquiétudes de deux femmes qui s'aiment et sont privées de la possibilité d'avoir un enfant. Dans une langue éblouissante, Marina Tsvetaeva livre dans ces pages une réflexion profonde et poétique sur l'amour des femmes entre elles. Le livre de poche.