- Coup de cœur
Le quadrille du lancier (Préface de Mirande Lucien)
Georges Eekhoud
"Vive les garçons ! Les garçons consignés, les gars de peine, les sacripants, les parias, les guenilleux, les faubouriens, les voyous, les matelots, les paysans, les blousiers, les vachers... Le genre de mecs que l'écrivain n'a jamais été. Alors l'attirance, l'amour, la passion des contraires se déchaînent. Alors Eekhoud sublime." Michel Zumur
"Vive les garçons ! Les garçons consignés, les gars de peine, les sacripants, les parias, les guenilleux, les faubouriens, les voyous, les matelots, les paysans, les blousiers, les vachers... Le genre de mecs que l'écrivain n'a jamais été. Alors l'attirance, l'amour, la passion des contraires se déchaînent. Alors Eekhoud sublime. Par l'écriture qui se met en verve ("en verge ?"). Qui se déploie, flamboie dès qu'apparaît un de ces jeunes-gens dans le champ de la narration. Qui vire à ce moment à la description. Et la circulation du désir de commencer. Oh ! pas en plein jour, bien sûr. L'amour se fait en cachette dans les textes de Georges Eekhoud. A l'ombre dans les chambres, à l'abri sur le cours des rivières. Ou ne se fait pas. Ou seulement dans les soubassements du texte." Michel Zumur