Chroniqueur de son temps, Klaus Mann n'a jamais cessé de clamer son admiration pour la culture française et ses écrivains. Dès 1925, il rend hommage à Gide, Radiguet, Crevel, Cocteau, Green, Alain-Fournier, Giono ou Saint-Exupéry. Son regard sur la France est celui d'un Européen convaincu, celui d'un écrivain engagé dans les débats idéologiques et politiques de son pays. Ecrits entre 1925 et 1949, les trente-sept textes de ce recueil sont une ode à une Europe plus juste, plus humaine. Phébus, 267 p.