Come get your honey
Samet Durgun
42,00 €
TTC
Hors frais de port
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Et si la photographie était plus «écouter» que voir ? Come Get Your Honey utilise cette question comme boussole tout en racontant une histoire sur les réfugiés trans et queer à Berlin. C’est le parcours du photographe qui consiste à tisser des liens à la hauteur des yeux des individus à travers la vulnérabilité, l’amitié et la joie. Samet Durgun s'efforce de dépeindre chaque individu comme des êtres humains complexes dans leur intégralité, essayant d'établir une nouvelle maison dans un pays étranger et un climat politique extrêmement polarisé. Il va au-delà des récits courants sur les LGBTQIA + et les communautés de réfugiés, qui tendent à les réduire à leur agonie, soit en explorant chirurgicalement leur corps du «regard extérieur» ou en romantisant leur lutte.
Et si la photographie était plus «écouter» que voir ? Come Get Your Honey utilise cette question comme boussole tout en racontant une histoire sur les réfugiés trans et queer à Berlin. C’est le parcours du photographe qui consiste à tisser des liens à la hauteur des yeux des individus à travers la vulnérabilité, l’amitié et la joie. Samet Durgun s'efforce de dépeindre chaque individu comme des êtres humains complexes dans leur intégralité, essayant d'établir une nouvelle maison dans un pays étranger et un climat politique extrêmement polarisé. Il va au-delà des récits courants sur les LGBTQIA + et les communautés de réfugiés, qui tendent à les réduire à leur agonie, soit en explorant chirurgicalement leur corps du «regard extérieur» ou en romantisant leur lutte.
Kehrer. 144 pages
Et si la photographie était plus «écouter» que voir ? Come Get Your Honey utilise cette question comme boussole tout en racontant une histoire sur les réfugiés trans et queer à Berlin. C’est le parcours du photographe qui consiste à tisser des liens à la hauteur des yeux des individus à travers la vulnérabilité, l’amitié et la joie. Samet Durgun s'efforce de dépeindre chaque individu comme des êtres humains complexes dans leur intégralité, essayant d'établir une nouvelle maison dans un pays étranger et un climat politique extrêmement polarisé. Il va au-delà des récits courants sur les LGBTQIA + et les communautés de réfugiés, qui tendent à les réduire à leur agonie, soit en explorant chirurgicalement leur corps du «regard extérieur» ou en romantisant leur lutte.