Ne sois pas vulgaire
Mathilde Biron
Le cul, la chair, le ventre plein, le ventre vide, le monde des morts, l'inconscient, les fantasmes, l'imaginaire, le rêve, l'intime. Les fluides vitaux qui nous irriguent, nous épuisent, nous consolent - les larmes, le sang, le sperme, la mer, le Chanel N°5. Les regards qui se fuient, se cherchent, les peaux qui s'aimantent, les corps et les mains qui s'enlacent. Les sens comme des instruments d'une quête existentielle, d'une acuité accrue de soi, des autres, du monde. L'amour et la difficulté de l'amour, la jouissance d'être et la difficulté à exister, la peur de perdre, la perte, le temps qui passe, la mort, les renaissances, la vie, les photographies qui existent et persistent, les instants demeurant, ici dans ce livre, et ailleurs, quelque part où est l'art.
Le cul, la chair, le ventre plein, le ventre vide, le monde des morts, l'inconscient, les fantasmes, l'imaginaire, le rêve, l'intime. Les fluides vitaux qui nous irriguent, nous épuisent, nous consolent - les larmes, le sang, le sperme, la mer, le Chanel N°5. Les regards qui se fuient, se cherchent, les peaux qui s'aimantent, les corps et les mains qui s'enlacent. Les sens comme des instruments d'une quête existentielle, d'une acuité accrue de soi, des autres, du monde. L'amour et la difficulté de l'amour, la jouissance d'être et la difficulté à exister, la peur de perdre, la perte, le temps qui passe, la mort, les renaissances, la vie, les photographies qui existent et persistent, les instants demeurant, ici dans ce livre, et ailleurs, quelque part où est l'art. Presses Littéraires. 80p